Atelier Coopération internationale
Questions à usage des entretiens de l¹atelier Coopération internationale.
Questions générales :
- Doit-on lier la réflexion sur la coopération internationale à celle des causes des migrations et comment ? Peut-on repérer en provenance de certains pays une pression migratoire qu¹il serait nécessaire de réduire ? Peut-on y parvenir par certaines modalités de la coopération avec les pays concernés ? Doit-on diversifier l¹analyse en fonction des pays et comment ? La présence en France d¹un courant de population en provenance d¹un pays représente-t-elle un avantage mesurable pour ce pays ? Est-elle aussi un avantage pour la France ? ou une charge ?
- Est-il possible de mener une autre politique de coopération avec les pays en développement dans le contexte économique international actuel en matière de commerce mondial, de prix des matières premières, de gestion de la dette, de modalités des investissements étrangers, de déséquilibre des monnaies ? Comment assurer le succès des actions de coopération du point de vue du développement dans ce contexte ?
- Quels sont les meilleurs acteurs de la coopération en France? Que penser de la répartition par ministères et par organismes? Comment évaluer la coopération décentralisée? Quels sont les meilleurs interlocuteurs de la coopération dans les pays destinataires? Comment éviter la politisation de la coopération?
- Y a-t-il lieu de modifier la liste des pays destinataires? Faut-il garder une relation privilégiée avec les pays anciennement colonisés? Comment choisir entre aide humanitaire et aide au développement?
Questions plus techniques :
- Peut-on accroître les montants de l¹aide et à partir de quelles sources de financement ou faut-il prioritairement mieux les utiliser ?
- L¹action bilatérale est-elle supérieure en efficacité à l¹action multilatérale ?
- Que signifie le fait que les plus gros crédits soient gérés par le Ministère des finances? Doit-on maintenir des soutiens purement financiers ?
- Comment apprécier les modifications intervenues aux dépens de l¹assistance technique et au profit des missions d¹experts ?
- Comment parvenir à une meilleure transparence comptable des flux effectivement consacrés au développement ?
- Comment clarifier la coopération militaire dans ses objectifs et ses moyens ?